Red Riding Hood
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 «Je dors sur des roses qui signent ma croix... » | Euphémie.

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Euphémie Skýla
Vampire Sans mêlé

Euphémie Skýla

Messages : 12
Date d'inscription : 21/10/2012
Age : 26
Localisation : Sous ton lit. ♠


«Je dors sur des roses qui signent ma croix... » | Euphémie. Empty
MessageSujet: «Je dors sur des roses qui signent ma croix... » | Euphémie.   «Je dors sur des roses qui signent ma croix... » | Euphémie. Icon_minitimeDim 21 Oct - 19:52

❝ Euphémie


Personal Identity
❝ Nom : Skýla
❝ Prénom : Euphémie
❝ Age : Vingt-cinq ans.
❝ Attirance : /
❝ Caractère : Solitaire • Renfermée • Calme • Posée • Endurcie mais fragile • Perturbée • Rêveuse • Suicidaire • Artiste • Amoureuse de la nature • Se hait • Sûre d'elle • Coincée dans le passé •
❝Métier : Fleuriste.
❝Groupe : Bloody Lovers.
❝ Fantasme : « Allongée sur un lit de fleur, la sensation des roses épineuses dans son dos l'excitant plus que les caresses de cette personne au dessus d'elle. Des ronces enserrent doucement ses chevilles et ses poignets, un sang sans cesse séché s'écoulant (..) ».
❝ Obsession : L'amour.
❝ Rang : Infectée.


❝ my lovely body & ❝ my head and my ideas




Physique.

Elle ignore pourquoi, mais elle s'obstine à encore porter des lunettes alors qu'elle sait très bien qu'elle n'en a plus besoin. Euphémie, de par son caractère vampire n'a plus besoin de toutes ces choses futiles telles que les lunettes, pourtant elle les porte toujours. D'un certain côté ça lui rappelle son humanité, d'un autre c'est une habitude qu'elle n'a en fait pas perdue. Derrière ses lunettes sont cachés deux yeux aux iris aussi noires que le charbon. Deux yeux légèrement bridés, souvent maquillés de façon extravagante. Couvertes de rose, de bleu, de vert, les paupières d'Euphémie en voient de toutes les couleurs pour leur plus grand bonheur. Ainsi, en plus de paupières colorées, elle ne peut s'empêcher de faire de petits bistouris aux coins de ses yeux. Toujours très colorés, le plus souvent rouge vif, pour aller avec son teint laiteux. Une peau douce, soyeuse au toucher qui laisse alors ressortir des cheveux bleu nuit. De longs cheveux qui viennent fouetter avec douceur le bas de son dos, s'écrasant en une mèche sur son visage, cachant la plupart du temps son nez fin et bien dessiné. Quelquefois, il peut lui arriver de les détacher pour en fait un énorme chignon agrémenté de fleurs venant tout droit de sa boutique. Ses cheveux ainsi noués, ils nous révèlent une oreille percée à la mort mais bien plus encore ; alors que l'on pensait sa peau blanche et propre, une immense tache d'encre noire et rouge se perd dans son dos.
Un dragon.
Impressionnant, gigantesque, puissant ; c'est ce qu'impose l'immense dragon enroulé dans son dos. Un dessin magnifique qui parcourt vraiment la totalité de son dos. Une folie qu'elle s'est offerte en sachant qu'elle ne risquait plus rien... Un dragon qui représente peut-être ce qu'elle voudrait être ; un dragon qui a une signification singulière mais inconnue.
Un secret incrusté dans le dos.
Le reste de ce corps est celui d'une jeune femme mature. Une poitrine assez présente, ronde et bien formée, un corps plat, filiforme, de longues jambes lui permettant d'atteindre alors la taille mannequin - ou presque. Un corps parfait ou presque, emprunt tout de même de quelques marques de son passé, souvent dissimulés sous une tonne de vêtements lorsque le monde est là.
Maquillage, poudre et paillettes pour vous servir.


Mental.

Il vaut mieux être seule que mal accompagnée, ça elle le sait. Elle est au courant. D'ailleurs, elle ne peut pas supporter toutes cette population qui passe son temps à se plaindre, à pleurer sur leurs problèmes. À choisir, elle préférerait largement rester seule avec ses fleurs qu'avec ces personnes pleines de problèmes ou pas d'ailleurs puisque de nos jours, les gens se plaignent pour tout et rien à la fois. Elle, elle a de quoi se plaindre mais est-ce qu'elle vient raconter sa vie à quelqu'un ? Non ! Alors pourquoi les autres le font-ils ? C'est du n'importe quoi... Terrée dans le silence, elle ne raconte jamais rien. Tout le monde à l'impression de connaître Euphémie sans rien savoir d'elle ; toujours très vague, ses récits ses paroles, se font rares mais pertinents. Bien entendu, elle sait se montrer bavarde, mais son côté solitaire l'empêche de trop sympathiser avec une population qu'elle ne supporte plus.
Mais elle n'a pas le choix.
Solitaire. C'est vraiment le bon mot pour la décrire. Calme, posée, réfléchie, elle a tout de la femme parfaite, celle que l'on voudrait épouser à n'importe quel prix. C'est vrai, qu'à choisir, un bon livre et une tasse de thé c'est mieux qu'une sortie à faire les magasins. En tout cas, selon la jeune femme. Rêver... C'est ce qu'elle fait de mieux. Elle est lassée de cette vie sans queue ni tête, elle préfère s'échapper entre les lignes d'un roman où elle peut croire à une vie qu'elle n'aura jamais. Que de rêves romanesques qu'elle sait impossibles. Mais tout de même, rêver et tellement mieux. Fuir la réalité, se réfugier... Artiste dans l'âme, Euphémie travaille elle-même sur un projet d'écriture plein de sens, de douleur et de problèmes. C'est un peu ce qu'elle ressent en ce moment ; une incompréhension totale de ses propres sentiments. Elle ne se comprend plus. On ne la comprend pas non plus. Mais est-il possible de comprendre une personne qui ne s'explique pas ? Je ne suis pas si sûre...
Un enfant ne se fait que dans l'imagination.
Mais derrière cette image de jeune femme rêveuse, il se cache quelque chose de bien plus profond, de bien plus dur : une personne qui se hait au plus haut point. Euphémie se déteste. Elle ne peut pas se voir en peinture. Elle hait son côté vampirique. Elle hait les vampires. Elle déteste cette facilité à comprendre les autres, à manipuler les êtres chers. Elle déteste savoir qu'elle vivra sans cesse alors que les autres mourront, la laissant seule. Elle est terrorisée à l'idée de « tuer » quelqu'un, de mordre un cou pour vider le sang. Elle déteste ses longues canines, elle déteste ses nouvelles « capacités physiques ». Elle aurait tellement voulue rester la même, celle qu'elle était. Elle n'aime pas parler « d'avant » parce que pour elle, c'est toujours gravé au fer rouge dans sa mémoire... Elle n'est pas bien. Elle a envie de mourir.
Folle.
Suicidaire. Cette femme est suicidaire. Pourtant si forte auparavant, elle ne supporte plus cette idée d'immortalité. Qui ne le comprendrait pas ? Vivre pour toujours c'est bien, mais savoir qu'au fur et à mesure on verra disparaître et apparaître de nouvelles choses tout en étant qu'un acteur passif de l'histoire ; c'est insupportable. Puis, de toute manière, elle, elle n'a rien demandé ! Elle voulait mourir comme tout le monde, d'ailleurs cette idée-là ne lui faisait pas peur, bien au contraire. Elle avait toujours été forte, sûre d'elle. Elle l'est toujours, sûre d'elle. Sûre de ses pas, sûre de ses gestes. Mais forte... Elle ne l'est plus. Trop fatiguée. Trop abîmée. Elle préfère mourir. Mais c'est impossible. Et ça... C'est encore plus douloureux que quelques coups de couteau dans l'estomac.
Avant.. C'était mieux.
Elle vit comme dans les années 60. Elle ne peut s'empêcher de penser à cette époque, de vivre comme à cette époque. C'est vrai, souvent, elle pense au passé. Tout le temps même. Elle y est comme enfermée, perdue. Pour elle, c'était mieux avant. Lorsque c'était son présent. Sa vraie vie. Celle d'une fille, d'une femme, d'une humaine. Elle n'était pas encore un monstre, et c'était bien mieux ici. Oui, elle est prisonnière de ses souvenirs, de sa vie antérieure. Pour elle, c'est comme si ces années-là n'avaient jamais cessé. Nous sommes toujours en 62, lorsqu'elle a vingt-cinq ans et que sa vie est parfaite. Dans sa tête, c'est comme ça. Et ce n'est pas près de changer.
Quoi de plus simple qu'aimer ?
En dehors de cela, Euphémie reste une femme. Fragile, douce, un peu perturbée. Et c'est une femme. Et ce dont, finalement, elle a le plus besoin, c'est peut-être bien d'amour.



❝ my stupid story



Septembre 1962

Aujourd'hui, je suis allée à la bibliothèque. D'habitude, c'est un endroit que les jeunes de mon âge évitent. Ils préfèrent se perdre dans les quartiers chauds ou aller péter une cigarette dans un coin de rue. Moi, j'aime beaucoup la bibliothèque pour son calme ambiant, puis son choix de livres est tellement impressionnant que je ne sais plus où donner de la tête ! Elle renferme tout un tas de choses sur les fleurs... Comme par exemple, les espèces que l'on ne trouve qu'au-delà des vallées de Dunenvald. C'est très intéressant.
Mais si aujourd'hui j'ai décidé de moi, commencer à écrire, ce n'est pas parce que j'ai découvert une nouvelle plante, mais plutôt parce que j'ai vu quelqu'un. Ce quelqu'un, c'est un homme... À dire comme ça, je crois qu'il devait avoir mon âge. Un bel homme, comme ceux que l'on trouve dans une tragédie ! L'air fier, hautain... Ce genre de gras que je ne peux pas me supporter. Pourtant, il avait quelque chose d'hypnotisant. Autour de lui, une tonne de livre était empilée, comme s'il n'avait que ça à faire. Moi, j'ai pris deux trois bouquins, me suis assise non loin de lui et je crois que je l'ai plus regardé que ce que j'ai lu... Mais quelque chose chez lui m'intriguait, ce n'est pas de ma faute.

Octobre 1962

Il s'appelle Anaël. Il a exactement le même âge que moi, et je crois qu'il s'intéresse lui aussi aux fleurs vues sa connaissance sur le sujet... Il n'est pas comme on peut l'imaginer. Gentil, doux, social et en plus de ça souriant, il est loin d'être le charmeur que je m'imaginais. Tous les soirs nous nous retrouvons sur le devant de la bibliothèque puis soit nous y entrons soit nous allons faire un tour. En ce moment, nous nous échappons plus qu'autre chose. Pour une fois, je me surprends à préférer l'air frais des ruelles que l'intérieur d'un bâtiment. Oui... Je me surprends à préférer tenir le bras d'un homme que de prendre des bouquins... C'est peut-être idiot, mais je crois que j'ai enfin rencontré une personne capable de me faire changer. Aujourd'hui, alors que nous nous étions posés sur un banc, il a avoué me trouver très intrigante dès la première fois qu'il m'a vu à la bibliothèque. Il m'a aussi dit qu'il n'arrivait plus à se concentrer sur son livre, qu'il avait dû faire un énorme effort sur lui-même : exactement la même chose que moi !
Peut-être qu'aujourd'hui, pour la première fois en vingt-cinq ans d'existence, je connais quelqu'un qui me ressemble, qui ressent les mêmes choses que moi. Oui, pour la première fois j'ai envie d'en apprendre plus sur un humain et non sur une plante... Je me suis découvert une curiosité sans bornes... Il m'arrive même de poser quelques questions gênantes qu'il a pour habitude d'éluder avec un sourire ou avec une main dans mes cheveux. Je sais bien qu'il ne répond pas à ma question puisqu’il m'en pose toujours un autre derrière mais je ne peux m'empêcher de penser que finalement, j'en sais un peu plus sur lui à chaque fois que l'on se voit.

Novembre 1962

Je ne me sens pas très bien. Je crois que je vais vomir. J'ai la tête qui tourne et l'estomac comprimé. Ce n'est pas possible. Je n'ai pas compris tout ce qui s'est passé à ce moment-là. Comme d'habitude, nous nous étions rejoint devant les grandes portes de la bibliothèque. Il m'avait salué par son éternelle bise, sa peau froide contre la mienne puis m'avait pris la main avant de m'entraîner dans les ruelles ; cela doit faire un mois que je n'ai pas touché à un livre. Je suis comme hypnotisée par cet homme, pour de bon. Je ne peux m'empêcher de le suivre, de boire ses paroles, de lui sourire comme une gamine. Mais aujourd'hui, c'en est trop. Je crois que je vais mourir sur place, fondant comme un vulgaire bonhomme de neige au soleil. C'est un peu cette sensation-là que j'ai. Celle de mourir sur place alors que je suis enfermée chez moi... Je meurs d'amour. Tu sais, je crois qu'en fait le coup de foudre est présent à tout âge et pour tout le monde. Je l'aime depuis le premier regard, depuis sa première parole, son premier contact. Je l'aime depuis trop longtemps, tellement qu'il ne faudrait pas. Mais... Mais lui aurait dû prévenir son geste, ses sentiments.
Sans que je ne m'en rende compte, tout doucement, il est venu poser ses lèvres contre les miennes, m'arrachant à mes rêveries. Son souffle chaud se perdait sur mon visage alors que ses mains venaient doucement serrer ma nuque pour approfondir un baiser auquel je n'avais pas encore pris part. Il ne me fallut pas longtemps pour entrouvrir mes lèvres et laisser sa langue trouver la mienne pour les laisser se découvrir doucement. C'était bien loin d'être mon premier baiser, mais celui-là avait quelque chose qui me fit frissonner. Lorsque nos souffles manquèrent et que nos lèvres furent séparées il me souffle ces mots qui m'ont fait partir si vite, en courant presque. « Je t'aime ». Il me l'a dit. Mais je ne lui ai pas répondu. Je dois passer pour une gamine face à toi, mais comment faire pour qu'il comprenne mon amour... ?

Décembre 1962

Cela fait maintenant un mois que nous vivons ensemble. Une relation stable et saine basée sur l'amour et la confiance ainsi que quelques escapades au lit. Aujourd'hui, nous sommes le dernier jour du mois de décembre. Nous allons donc fêter la fin d'année ensemble. Il a mis la table, je le regarde en ce moment faire, écrivant dans tes entrailles. Il n'aime pas trop quand je décris ce qu'il fait à l'instant précis où il le fait. Il dit que cela gâche mon talon d'écrivain. Je pense plutôt qu'il n'aime pas que je surveille ses faits et gestes, mais il est tellement gracieux que je ne peux m'empêcher de vouloir les immortaliser.
Cela fait quelques jours maintenant que je le sens nerveux, anxieux. Il me pose des questions bizarres. Je ne comprends pas vraiment ce qu'il a mais lui m'assure que rien ne le tracasse. Je ne suis pas si sûre mais je ne peux le contre dire ; après tout il se connaît mieux que ce que moi je le connais.
Il râle, il n'aime vraiment pas que je parle de lui ainsi. Surtout quand c'est lui qui installe la table et que moi, je ne fais rien, les doigts de pieds en éventail. Ce qui cuit dans la cuisine sent super bon. Je me demande encore ce qu'il a bien pu me préparer pour cette nouvelle année. Un peu de gingembre, de citron... Cela sent tellement bon.
Ses bras m'entourent doucement, son nez frotte ma nuque tandis que ses mains viennent caresser mes hanches. Il râle encore, disant que ça je n'ai pas besoin de le marquer. Il effleure de sa langue mon cou, me procurant quelques frissons. Aujourd'hui j'ai envie d'immortaliser chacun de ses gestes. Ses mains glissent sur mon ventre pour venir finalement se poser sur ma poitrine alors qu'un petit rire niais s'échappe de mes lèvres. Je n'aime pas ce genre de réaction de ma part, mais je ne tiens pas face à cet homme.
Il se fait plus insistant sur mon coup, déposant d'humides baisers. Il râle encore, je le sais, puisqu'il s'est mis à mordiller la fine peau de cet endroit pour y laisser quelques marques. Mais, alors que d'habitude cette chose me procure un bien phénoménal, une sorte de douleur m'envahit... J'ai mal. Je sens ses dents s'infiltrer sous ma peau...

1 Janvier 1963

Elle est morte.


❝ under this skin



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MessageSujet: Re: «Je dors sur des roses qui signent ma croix... » | Euphémie.   «Je dors sur des roses qui signent ma croix... » | Euphémie. Icon_minitimeMer 24 Oct - 11:49

Bienvenue ~

Une nouvelle vampire, quelle joie, surtout une aussi jolie et mystérieuse demoiselle ♪

Joli fiche, agréable et l'histoire est d'une présentation assez originale, surtout la fin bien que cela apporte peu de détails. Concernant le code.. Bon, vu que tu as déjà un compte, qui plus est bien actif et que le code un est en effet tout sauf simple à trouver, je passerais là-dessus pour cette fois.

Bonne amusement parmi nous ~
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MessageSujet: Re: «Je dors sur des roses qui signent ma croix... » | Euphémie.   «Je dors sur des roses qui signent ma croix... » | Euphémie. Icon_minitimeMer 24 Oct - 11:57

Cenkyou petite fleur ~

C'est gentil pour ma fiche ! :3 - C'un méchant code, le numéro un ! Il faut le fouetter ~ ! ** Enfin passons. Meurcii beaucoup !
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MessageSujet: Re: «Je dors sur des roses qui signent ma croix... » | Euphémie.   «Je dors sur des roses qui signent ma croix... » | Euphémie. Icon_minitimeMer 24 Oct - 17:26

Re-Bienvenuuue <3
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MessageSujet: Re: «Je dors sur des roses qui signent ma croix... » | Euphémie.   «Je dors sur des roses qui signent ma croix... » | Euphémie. Icon_minitime

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«Je dors sur des roses qui signent ma croix... » | Euphémie.

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