Red Riding Hood
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 Dépravation & Noire passion, le poison du sexe est celui qui te perdra. Viens dans ma toile d'artiste proie de mes désirs facétieux.

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Loren Di Scorpio

Loren Di Scorpio

Messages : 4
Date d'inscription : 29/08/2012


Dépravation & Noire passion, le poison du sexe est celui qui te perdra. Viens dans ma toile d'artiste proie de mes désirs facétieux. Empty
MessageSujet: Dépravation & Noire passion, le poison du sexe est celui qui te perdra. Viens dans ma toile d'artiste proie de mes désirs facétieux.   Dépravation & Noire passion, le poison du sexe est celui qui te perdra. Viens dans ma toile d'artiste proie de mes désirs facétieux. Icon_minitimeMar 30 Oct - 10:23

Loren Di Scorpio


Personal Identity
❝ Nom : Di Scorpio
❝ Prénom : Loren
❝ Age : Hmm..attendez voir un peu...Je crois que c'est..400 ans. Tout pil, c'est pas mal n'est-ce pas ?
❝ Attirance : Je prend ce qui à l'audace de se présenter, je ne juge pas. Je désire qui le demande. Je n'aime cependant pas.
❝ Caractère : Éteint—Désinvolte—Provoquant—Narquois—Sadique—Gros Masochiste—Observateur—Pervers—Manipulateur—Exigeant—Relax—Fier—

❝Métier : Prostitué.
❝Groupe : Celui des suceurs /PAN/
❝ Fantasme : Tous déjà réalisés~
❝ Obsession : Ressentir des bribes de désir comme autrefois, ressentir ce que lui faisait ressentir sa bien aimée.
❝ Rang : Sang-Pur.


❝ my lovely body & ❝ my head and my ideas




La sculpture des désirs, est d’une fascination certaine pour tous. Grande représentation, poupée de cire épurée. Toi dont cette peau aux reflets hâlés, mais si pale rappelle tant celle d’un mort. Naturellement imberbe, tu n'auras pas le besoin de te raser pour paraitre le plus soigné. Il ne s'agit la que d'un présent que lui as offert la nature. Parcourue d’un faible liséré de lumière sous les rayons lunaires tu luis d’une aura de mort, cette peau si fraiche sous la main mais d’un toucher encore aussi satiné que celui d’un nouveau né. Cette nudité exposée si fièrement sur un lit de rose semble parmi tout cela jouir d’une beauté parfaite.

Imprenable corps élancé, finement proportionné. Tes longues jambes musclées semblent pourtant emprunte d’une légère féminité teintée d’une masculinité pourtant plus marquée. Longues jambes dont on ne voit la fin s’échouer, que de délices as-on en courant sur les légères plaines de ses jambes. Elles qui remontent la côte escarpée mais marquée de ton bassin, dont la chute tombe irrémédiablement sur un jardin secret, secrètement désiré. Continuez l’ascension sur les montagnes perdues de son ventre finement taillé de pectoraux affirmés. Justement fermes. Une stature en forme de v s’achève dans le creux de ces reins, de ce bassin fin et marqué plus particulièrement que le reste.

On désires un corps emporté par la mort il y à bien longtemps. Un corps figé dans son âge portant encore pourtant toutes les traces du passage de Thanatos. Froide peau à peine colorée lors d’un effort conséquent. Tout en toi est figé, si ce n’est ce cœur qui bat d’une terrifiante lenteur dans le creux de tes entrailles, allumé seulement par les gênes vampiriques qui maintiennent à jamais prisonniers tes organes de ce rythme soutenu par les battements, soit disant si vitaux pour tout être vivant. Aucune maladie ne peut avoir l’audace de te défier, nulle blessure n’aura le courage de percer bien longtemps tes chaires. Corps résolument maudis pour cette vie éternelle qui ta été donnée, et qui te permettra pourtant une survie à jamais assurée. Enfin sauf si la morsure de l’un de ces êtres lupins venaient à te mordre. Parfois tu songes à la fin que tu pourrais avoir en te donnant à l’un de ces chiens. Que tu as pour l’habitude de ne pas côtoyer par pure antipathie.

De longs bras dont les mouvements assurés donnent un rendu plus effrayant qu’autre chose. Aucune hésitation ne transparait dans tes gestes, car avant tout tu réfléchis pour ne faire aucun geste inutile. Tu n’as pas particulièrement goût à dépenser des forces inutilement. Quoi de plus compréhensible me direz-vous ? De larges épaules angulaires s’étendent tout la tour d’ivoire que forme ton cou juste sous ce port de tête aux attraits nobles. Une allure du vieux temps. Le bon vieux temps.

Une tête harmonieuse dont le visage est teinté de sombres lueurs mystérieuses. Bien sur Loren, tu n’es pas parfait puisque la perfection n’est pas, on dira plutôt que tu t’en approche. Une chevelure commune, d’une couleur ébène n’ayant pour reflet que des lueurs noir sans fonds. Il s’agit de fins cheveux dont il semblerait que le mouvement aille vers l’avant, d’une taille mi longue. Quelques mèches viennent taquiner le bord des cils épais de ces yeux, fait de cette même couleur si détonante. Derrière ce rideau de mèches résident les deux yeux argentins du bel Adonis. Un regard qui ne cache rien de ses secrets, ou presque. Tout dépend des situations, pour le moins perçants, leur couleur évoque bien ceux d’un être trépassé. Terrifiante couleur qui ne s’apparente qu’a une froideur certaine. Une lueur épurée brillant faiblement les habitent pourtant. Comme des chandelles illuminent un couloir de maison hantée. Noir. De ce que tu te souviens tu as cette surprenante coloration depuis ta naissance en ce monde fait d’ingratitudes.

Un nez droit, inutile aujourd’hui puisque la respiration chez toi n’est devenu qu’un loisir. Respirer ou non, ca ne changera plus rien, cela te rendrait juste un peu plus humain. Ce dont tu n’as nul besoin. Légèrement retroussé et dont le bout est bien dessiné, la forme que prend son nez est marqué tout comme la courbe de sa mâchoire angulaire. Ajoutant une touche bien masculine a ce visage ombragé de silences bien apprêtés.

Un menton qui remonte sur de dangereuses tentations que sont les deux fentes de tes lèvres, légèrement colorées. Étirée en un sourire effacée, à peine lisible. Les traits de son visage ne se déforme que peut souvent par l'oublie de tout sentiment, serte. Mais il lui arrive d'en esquisser une infime trace. Bref reprenons, ce sont pourtant ces deux lèvres qui détiennent en leur sein ton arme la plus dangereuse, réside en cet antre quelques dents prêt de tes canines, beaucoup plus aiguisé. Cela ne transparait que peu en contraste avec les deux canines acérée qui servent à aspirer le flux que tu désires tant, celui qui éveille encore en toi quelques instincts d'un prédateur ayant remis les armes. La soif qui déchire tes entrailles, tu te contentes de la calmer, qui sait ce que cela donnerait si tu libérais à nouveau ce qui habite en toi ? Nous n'en saurons rien, sa voix est d'un ton légèrement plus grave, rassurant mais pourtant si caressant quand les mots doucereux viennent s'échouer sur le creux de nos oreilles, qu'ils soient murmurer ou susurrer. Une voix de damnation tentatrice.

Pour son style vestimentaire sachez que notre Adonis porte en dehors de son travail des habits du style classique, la sobriété de l’habit étoffe la beauté naturelle de Loren. Il ne revêtit que d’extravagants habits lors de ces ébats, et encore..Ce n’est que pour ses clients, il préfère ne rien mettre quand il est chez lui.




« Le sexe est ma mère, l’alcool est mon père, je suis l'éternel indésirable désiré »

Désirez le fruit d’un amour indésiré à votre tour. Laissez-vous tenter par le serpent qui tenta Eve de pêcher l’interdit. De provoquer le tout puissant lui même. Ce serpent que l’on aime tant pourtant pour son côté vicieux. Osez vous l’avouer, les souillés sont pourtant les plus intéressants de cette société.

Loren, toi qui est l’incarnation de ce mal qu’est le pêché, toi qui est l’absinthe des temps éternels, tu as la bonté malgré ta supériorité de te rabaisser à assouvir les plus sombres désirs de tous. Pudeur tu n’as point. Celle-ci ta lâchement désertée lorsque les affres du plaisir se sont insinué le long des sillons que le temps à creusé en toi. Le plaisir exquis de voir chaque homme, femme succomber à tes pieds ta poussé à aller toujours plus loin forcer les limites que tu t’imposais. Aujourd’hui la luxure ne saurait plus te cacher un seul secret, tu l’as découvertes de part en part et tu l’as adoptée comme ton unique mode de vie.

« Je suis celui que l’on désire,
Je suis celui qui se laisse prendre,
Je suis celui qui enivre,
J’évoque mille et unes envies,
Personne n’a su et saura un jour me résister »

Une parure naturellement désinvolte voile ton âme perdue, pour imaginer ce charisme qui t’es propre je pourrais imaginer ton corps aux pâleurs lunaires, noyé dans un bain de vice noire corrompu, qui s’échappe par flopée par les pores de ta peau. Un calice dont le fumet est tout aussi attirant que son goût amèrement exécrable. Car le fond de ton âme n’est que noirceur, vice. Un paradoxe étrange entre l’expression éteinte de tes traits physiques, qui parlent pour toi sur le caractère que tu possèdes et la noirceur qui coule autour de toi comme un genre de pétrole, figé. Hors du temps, celui-ci n’existe plus pour l’enfant de la nuit que tu es, alors tu es toujours emprunt de gestes langoureux. Gracieux. Ton âme malgré le travail que tu pratiques n’est pas vulgarité mais drapée de volupté. Vous pouvez bien tenter de prôner la sensualité, à ses côtés vous auriez l’impression de n’être qu’un insignifiant amateur. Et vous l’êtes.

« Pourquoi ne peut-on pas t’embrasser ? Tu couches avec tout le monde ca ne changera plus » murmure la proie a tes côtés installées dans ta couche.

Si il incarne un enfant de joie, il n’oublie pas sa fierté. Tout baiser vous est interdit. Celui-ci est un partage des âmes, de flux, un échange. Tu donnes le droit de posséder ton corps, mais juste ton corps et rien de plus. Tu t’abandonnes aux mains des autres, tu le maltraites et pourtant tu n’en tires qu’une concupiscence extrême. Cela en vaux la chandelle. Ton âme est bercée sur un lit de rose loin de ton corps, tu es là sans être là. Lunatique, et déconnecté de toute réalité. Espérer toute autre chose de lui serait vain. Oubliez cette lubie que de le posséder. Une rose noire peut-être cruelle, malgré la douceur dont elle fait preuve. Qui sait de quelles ressources ton être jouit encore ? La vengeance t’habiterait-elle, elle aussi ? Il est fort probable que le voile doux de ton être cache une toute autre partie de toi inconnue que toi même tu ignores pour avoir oublié avec les années passées le gout des sentiments. Tu es affreusement éteint, peut-être au fond cherches-tu l’étincelle qui rallumera le feu.

« Me croire l’esclave de tout ceux qui me payent pour une nuit ou quelques heures.. C’est bien me sous estimer, j’ai le contrôle, je paye pour leur plaisir. Je ne veux pas d’argent, le prix est beaucoup plus élevé, pour nourrir ce corps de rêve, non ce corps de cauchemar »

Le prix du sang, pour regorger ton corps de jeunesse. Le seul qui éveille en toi quelques bribes d’un désir oublié, d’une émotion de bonheur essoufflé.

Passif tu n’es point. Attentionné tu n’es point. Gentil tu n’es point. Hautain tu n’es point comme le pense les gens, tu ne te crois pas supérieur, tu es juste un artiste du monde de la nuit. Une araignée qui prend dans ses filets soigneusement tissés, les tentés qui se présentent à tes pieds. Détaché tu es, surtout inintéressé du monde qui t’entoure outre ton travail. Ressens-tu seulement la peur ? Bien sur que non puisque tu es un être que la mort a emporté dans un passé proche.

Sa présence n’est qu’un silence sensuel, qui parle pour lui. Il suffit que ton regard se pose sur un de ces êtres pour qu’il comprenne ce que tu désires alors tu n’uses pas de ta voix, tu es muet comme une tombe. Tu agis. Tout passe par la prunelle de tes yeux. Son savoir est grand, il sait ou appuyer pour vous faire vibrer. Il à la connaissance du monde, rien ne lui échappe même les détails les plus insignifiants. Pitié à décidée elle aussi de s’effacer de l’étau de ton âme, décidé à s’en prendre à quiconque te regarde. Tu initiera enfants et âgés aux joies du sexe. Tu es pervertis, et tombé dans l’oublie des catacombes, à tout moment tu es susceptible de faire dévier du droit chemin les bons chrétiens, d’autant plus pernitieux qu’on ne peut s’en défendre du moment ou l’on respire se parfum qui émane de lui. Et d’autant plus diabolique qu’il mime la création divine ; il prétend l’améliorer, encore légèrement emprunt de prétention.

La provocation, la débauche, l’excentricité. Tel est ton chemin, jusque la folie la plus totale. Ta destruction finale. Cyanure, souillure, tu n’es peut-être pas agressif mais tout évoque en toi, non est un appel aux sombres désirs qui sont en nous. Tu expies les désirs des autres. Sans le savoir tu es un bienfaiteur pour tousse, les soulager de ce désir infâme qui les teintent quand ils te payent afin de leur éviter tout débordement quand ils reprennent leur petite vie. Mais sans toi, le monde ne serait rien. Ils viennent te délivrer d’eux même le message qu’ils désirent, pour après votre nuit redevenir pour certains des papas poules, des petits garçons innocents de dix huit ans. Mais toi tu le sais bien par delà ton silence, que tout ce beau monde n’est qu’une illusion, on se met un masque pour mieux passer pour un gentil. Mais on ne peut résister à son autre face la plus sombre. Toi tu ne la caches pas, tu t’es contenté de lui ouvrir tes bras.

Personne ne peut te mentir, tu sais tout de tout le monde. Toi l’être éteint tant choyé de violence. De temps à autre pour détendre l’atmosphère tu te permets quelques remarques désobligeantes, et faites d’un humour noir. Car sur les bords de ta douceur réside un sadisme bien insoupçonné. Dominant dominé. Quelle est la vérité ? En dehors de ton métier tu sais être décontracté. Un être nouveau, changé de cette routine. Plus décontracté, soyez assuré qu’il ne se prend jamais la tête. Cherchez-le ? Il ne répondra pas, humilier le, il subira. Jamais colère ne pointera.

Fume donc des pétards pour voyager hors de ce monde, toi qui n’à jamais connu la chaleur des sentiments. Crois-tu qu’installer ainsi sur ce siège dont tu es le roi, tu es l’abri ? Tu devrais pourtant, sembler plus inquiet du sort qui pourrait t’être réservé.



❝ my stupid story



Loren, c’est une bien longue histoire que tu as la. Cette longue histoire, tu as l’impression que tout ce déroulait encore hier, et tu te souviens de tout dans les moindres détails et c’en est effrayant. Chaque émotion passée, ravivée lorsque tu songes à cette vie que tu as menée.

Le tout début, remontons aux temps du passé, quelques années avant la guerre qui allait se déclarer peu de temps après. Loren est né dans une bonne famille de condition modeste, c’était encore une époque de détente ou les gens aimaient danser le soir en plein air sur des estrades toute faites de lattes de bois, accompagnées de la musique qu'un groupe créait. Quand les hommes étaient des gentlemen et quand les femmes portaient des petites robes a fleurs volantes, et légères. Quand toi Loren tu étais encore capable de ressentir ce qu'était la joie de la vie, quand tu souriais à tout bout de champ quand il partait avec entrain au lycée pour ses études. Quand le rire de sa voix si jeune, si pure encore résonnait aux moindres blagues stupides que prononçait ses camarades. Quand il ressentait les blessures des trahisons de la vie...quand il pouvait simplement être triste. Tout ces ressentis, nous devrions les chérir en vérité.

Le bon vieux temps léger qui n’était rien d’autre que le précurseur d’une époque révolue et la naissance d’un nouveau commencement. Les années étaient passées rapidement, et Loren avait finit ses années d’études de médecine brillamment en obtenant son diplôme. Il avait encore à cette époque deux sœurs, et son enfance se passa sans aucunes difficultés. Il avait dors et déjà ce je ne sais quoi de suave dans son attitude qui était calme mais emprunte d’un œil perçant et observateur. Son silence inquiétait ses parents et il ne parlait que pour dire des choses pertinentes. Studieux et Heureusement pour lui, cela lui épargneras plusieurs fois la vie.

Il finissait donc ses études quand il rencontra la première lueur de sa vie, celle qui chamboula définitivement sa vie posée qui jusque la n’avait jamais été saupoudrée de piment mais qui auparavant n’avait été qu’un doux sucre. Emma avait un caractère de cochon, et il fut poussé hors de ses gonds quand un beau jour elle lui hurla dessus (quand ils fleuretaient oisivement encore) qu’elle avait beau faire tout ce qu’elle voulait pour attirer son attention, il ne faisait rien pour répondre à ses avances, qu’elle en avait marre de ses regards indéchiffrables. Il piqua un fard pour la première fois de sa vie, en se sentant ainsi agressé, et ce…juste par une jeune femme qui comptait fleurette. Oui, elle ne connaissait rien de lui après tout, alors d'où se permettait-elle d'être aussi présomptueuse ?
La fierté, c’était déjà ancrée en lui et il lui répondit avec un tact certain qu’elle lui plaisait avec ces petites provocations silencieuses en publiques.

Le piquant qui manquait dans sa vie, c’est elle qui lui apportera et lui fera faire l’impossible. Elle lui fera simplement découvrir la vie sous un autre angle, plus amusant. Et autant dire qu’il n’en avait jamais autant attendu de la vie. Combien de fois l’a-elle trainé dans des endroits impossibles afin d’observer un simple panorama du paysage, sublime je le conçois, mais aux prix d’interminables efforts ? Mais aussi combien de fois l’aura-elle incité aux mauvaises habitudes ? A gouter aux défis ? Ce fut elle qui t’apprit le sexe, elle qui t’initiera au goût de la séduction mais surtout du jeu. Ainsi, souvent même aujourd’hui lors de tes heures de travail tu songes a ces moments de découvertes exaltants qu’elle t’avait donné du creux de ses reins, et de son cœur. Tu te souviens de ses échanges complices que vos yeux s’échangeaient. De vos corps nus lovés l’un contre l’autre après quelques heures de dance corporelle. Allongé ainsi a sentir Emma dormir paisiblement à tes côtés contre toi, tu as le souvenir de cette peau si douce et chaude contre toi qui respirait calmement.

Tu te souviens des piques niques que vous organisiez, quand avec vos vélos vous faisiez des escapades dans la campagne d’été. Tu voyais de dos Emma qui pédalait, les jambes à l’air drapée de sa robe à pois blanc, tu ne voyais que les courbes graciles de son corps et tu n’aurais pas pu imaginer plus belle chose. Mais surtout tu ne pensais pas qu’un quelconque événement viendrait troubler les jours paisibles que tu coulais.

Puis tu te souviens, ainsi assis sur cette nappe à carreaux rouge et blanc, tu avais finis de manger et tu contemplais la nuque dégagée d’Emma, juste recouverte de quelques duvets blonds, elle dont les formes étaient parfaitement mises en valeur par sa belle robe bleu, elle se retournant pour te faire un sourire de ses lèvres recouvertes d’un rouge à lèvre à s’en damner. Elle si vivante. Elle qui te regardait alors qu’elle baignait dans un filet de lumière que le soleil couchant offrait.

Ce genre d’après-midi calmes ou vous n’étiez plus que tout les deux étalés dans les herbes hautes caché des regards indiscrets. Tu as encore le toucher de sa main sur ta joue, le mouvements des caresses dans tes cheveux. Et sa voix douce comme du miel qui te murmurait au creux de l’oreille « Je t’aime ». N’y eut-il pas meilleur mot pour te rendre heureux ?!

Quelques années plus tard, Loren travaillait et Emma était devenu sa femme. Ils s’étaient marier tout deux, tombés entre temps follement amoureux. Ils coulaient des jours heureux et Emma venait tout juste de tomber enceinte quand le premier jour qui allait changer à jamais sa vie survint.

Une annonce dans la rue « Tout les hommes disponibles doivent se joindre à l’armée dans les rangs pour défendre la patrie. Recensement obligatoire pour le champ de bataille. »

Loren eut du mal à croire qu’il étaient tous obligés de partir, et il n’en n’avait absolument pas l’envie, pas maintenant qu’il avait un enfant en cours et une femme a choyer.. Il devait partir…C’était ainsi, sauf si il voulait se faire fusiller, fuir n’aurait servit a rien, personne ne savait quand la guerre allait s’arrêter, et il ne pouvait prétendre être handicapé.

Quand il rentra chez lui le soir de la nouvelle, a peine eut-il passé le seuil de la porte qu’Emma se jeta à son coup en larmes. Le serrant contre elle avec une force désespérée comme pour le retenir de partir, de la quitter. Un long moment il serra la taille de sa femme contre lui le regard perdu sur son ventre.

« Il faut que tu sois fortes Emma.. » lui souffla-il. « Il le faut, je te promets que je reviendrais vivant. Pour toi, pour vous deux. »
Il posa une main sur le ventre qui contenait la vie, affectueusement. Il prenait sur lui pour la rassurer, elle ne manquerait de rien ici.
« Je t’enverrais des lettres »
Emma le regardait non sans cacher sa peine.
« Tu as intérêt ou je vais me mettre a crier comme le jour ou je t’ai reproché de ne pas répondre à mes avances … » elle le taquinait à l’aide d’un maigre sourire. Sans joie. Espérant de tout son cœur qu’il survivrait a ce qui allait l’attendre.
« Tu prendra bien soin de notre enfant n’est-ce pas ?.. »
« Oui, je te le promets, et je n’oublierais pas de lui parler de son père. »
SUITE. UC


❝ under this skin



Pseudo : Loren.
Un petit com' du fow ? Ton avis ? Comment tu es arrivé ? : Je suis là depuis toujours, seulement mon chou tu ne me voyais pas.
Envie du moment ? MANGER !

©Milady
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