Red Riding Hood
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

Partagez
 

 Aristide AKA le dénie de la société contemporaine en chaire et en os.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Je suis
Aristide H. Marxs

Aristide H. Marxs

Messages : 1
Date d'inscription : 24/09/2012


Aristide AKA le dénie de la société contemporaine en chaire et en os. Empty
MessageSujet: Aristide AKA le dénie de la société contemporaine en chaire et en os.   Aristide AKA le dénie de la société contemporaine en chaire et en os. Icon_minitimeLun 24 Sep - 19:34


Aristide H. Marxs
Teeth ground sharp and eyes glowing red


Identity card




❝ Nom : Marxs
❝ Prénom : Artistide Horace
❝ Age : 260 ans et des poussières. Un tat de poussières.

❝ Orientation sexuelle : pansexuel. Après plus d’un siècle de vie, Aristide ne s’embrasse plus du genre de la personne du temps que l’attirance et le désir sont là.
❝ Métier : Bien qu’il exerce toujours son métier de zoologue pour son propre petit plaisir, Aristide ne possède pas de travail à proprement parlé. A vrai dire, quand on déteste sortir de chez soi et qu’on joue les fantômes pendant plus de 200 ans, dur dur de retourner à la vie active…
❝ Groupe : Bloody Lovers

❝ Phobie : Être confronté à la société contemporaine (« Ciel mais quel est donc cette étrange boîte pleine d’images et de noms que vous appelez ‘’ pomme ‘’ ?») et se retrouver face à un autre vampire. Il faut dire que vu son âge avancé et comment a fini son maître, il a toutes les chances de croire que si jamais par mésaventure il croisait un nosferatu, celui-ci l’éliminerait sur le champ.
❝ Caractère : Poli ; Gentil ; Aimable ; Naïf ; Timide ; Innocent ; passionné ; curieux - bipolaire - Radoteur ; Gâteux ; irritable ; agressive ; sauvage
❝ Fantasme : Tout simplement retrouver quelqu’un avec qui interagir, quelqu’un qu’il aimerait, avec qui il partagerait le même lien qu’il a partagé des années durant avec son créateur. Son âme sœur si on veut. Mais bon, pour l’instant c’est plutôt mal parti.
❝ Obsession : La zoologie est une des ses passions. Remplir son carnet de petits croquis et d’observation sur les créatures sauvages est ce qu’il fait de mieux et, en fait, la seule chose qu’il fait de ses journées…Il a aussi une passion pour les lycanthropes, aussi étrange que cela puisse paraître. Jamais il ne lui a été donné de voir une telle bête capable de changer de forme, de peau, d’apparence…bref, les gros chiens sur deux pattes le fascinent.
❝ Rang : infecté

©Milady



Qui est-ce au delà des apparences ?
Sous-phrase

❝ Physique


Comme le loup qui revêt la peau de l’agneau, Aristide est le démon travesti en ange. A la fois beau et innocent comme les êtres célestes, il est aussi odieusement attirant, un objet de luxure que l’on fantasme de façon déraisonnée. On idolâtrerait presque ce visage aux traits si fin, si parfait si seulement cela n’était pas un péché. On se perdrait volontiers dans ses yeux d’un bleu jamais vu, profond et clair, si seulement en contemplant ses iris on ne se sentait pas comme frigorifié par la glace du neuvième cercle de l’enfer. Mais cette impression de souillure démoniaque lorsque l’on pose son regard sur lui est vite chassé par ce sourire plein de lumière et chaleureux qui nous est adressé. On en oublierait presque ses deux petits poignards nacrés appelés canine qui menacent à chaque fois que ces deux morceaux de chair, lèvres rouges qui appellent au baiser, s’ouvrent et s’articulent pour laisser échapper des paroles douces et agréables à l’oreille. Et alors, quand ses mains douces et délicates se posent sur votre épaule en une petite tape amicale, vous ne pouvez que jubiler. Ses doigts longs, semblables à ceux des pianistes –bien qu’il ne pratique aucun instrument – glissent alors le long de votre bras pour finalement venir enserrée en un étau à la fois doux et fort votre membre antérieur. Vous sentez le velours de sa redingote caresser votre peau et la dentelle de sa manche chatouiller votre main. Vous baissez, votre garde, comment ne pas ?
Néanmoins vous oubliez le plus important. Malgré ses airs de gentleman avec ses vêtements tout droit sortis d’un roman libertin du XVIIIe siècle et sa belle canne qui ne le quitte jamais, cet homme au physique auguste et à l’expression affable n’est pas ici pour votre corps mais votre sang. Dès le moment où vous aurez compris cela, vous verrez dans son visage quelque chose de changé. Son regard n’aura plus l’air si doux mais animal et plein d’envie, ses traits vous paraitront bien moins harmonieux et le moindre geste qu’il aura à votre égard vous donnera la nausée. Enfin, quand il plantera ses crocs dans votre gorge, le dernier soleil que vous verrez briller sera sa crinière dorée, légèrement ondulées, attachée en une queue de cheval.


❝ Psychologie


Croire que tous les vampires sont ténébreux, froids et distant est une bien belle erreur, un affreux cliché et un affront sans non à l’individualité caractérielle d’un être. Ce n’est pas parce que ces créatures-là vive la nuit qu’elles doivent forcément se comporter comme l’idée que l’on se fait des êtres diurnes. Pourquoi ne pourraient-ils pas être joyeux, plein de vie, avec un grand soleil dans leur sourire ? Prenez l’exemple d’Aristide : blond comme les blés, pas mystérieux pour un sous – ou alors ce n’est pas voulu- et tout ce qu’il y a de plus aimable ! Jamais en le voyant on ne se douterait de sa véritable nature, et pourtant s’en est bien une, une bête à longues canines. C’est peut-être son côté maladroit qui lui donne des airs un peu trop humains, ou sa naïveté qui ne va pas de pair avec son âge avancé qui pourrait vous faire croire le contraire. Il faut dire qu’avec 260 ans au compteur, on ne s’attend pas à voir quelqu’un de timide et réservé mais plutôt un être adroit, gracieux, ayant dépassé sa phobie sociale et appris à se servir de ses dix doigts. Mais ce n’est pas le cas.
Ajoutez à cela une bonne dose d’optimisme – qui ne vas en revanche pas jusqu’à l’utopie, chose stupide qu’Aristide ne supporte pas. Il est un adulte, pas un enfant prêt à croire que n’importe quelle chose peut se réaliser dans les meilleurs des mondes et que les rêves les plus fous, dénués d’intérêts et fait pour le seul plaisir de l’humanité n’appartiennent qu’à des idiots qui perde leur temps et devrait se concentrer un peu plus sur leur personne que sur les autres qui, certainement, ne désire pas autant d’attention – un humour pas terrible mais là quand il faut, une personnalité sympathique et une loyauté démesurée et vous aurez tout l’opposé du vampire de conte, c’est-à-dire M. Marxs.

Passons maintenant à ce qui n’est diamétralement pas opposé au cliché des nosferatus , la suite et fin du caractère de notre cher ami.

Loin d’être parfait, monsieur a aussi ses travers. Bien qu’il paraisse jeune et vigoureux, mentalement parlant, il est tout autre. Il n’a plus la même façon de penser et d’approcher le monde que durant ses jeunes années. A présent vieux, Aristide a plus le comportement d’un grand-père que d’un jeune adulte. En sommes, il radote beaucoup, utilise des tournures de phrase telle que « de mon temps… » et est facilement irritable si on le contredit. Il ne clame pas avoir la science infuse, mais après plus de deux siècle de vie, il affirme tout de même en savoir un peu plus que le commun des mortels. On peut aussi parler de sa tendance à l’isolement qui résulte elle aussi de son grand âge. Forcément, après avoir connu les travers de la société, on a moins envie de la côtoyer et on préfère rester chez soi à pratiquer les activités que l’on aime. Certes cet isolement volontaire n’est pas dût qu’à sa vieillesse, des aventures passées particulièrement traumatisantes ayant participé à cela, mais aide grandement à développer cet amour de la solitude. On peut aussi parler de cette mélancolie bien présente dans le cœur et le regard de cet être de la nuit. Il n’est pas un jour qui passe sans qu’il repense au passé. A force d’idéalisé l’époque révolue à laquelle il vivait, il s’est même mis à détester la modernité, ne laissant naitre en lui aucun désir d’adaptation. Il n’a donc pas changé depuis 260 ans, autant dans sa façon de s’habiller que dans celle de parler et d’agir. Ne vous étonnez donc pas si vous croisez dans les bois de Dunenvald un dandy à manières fortes étranges. Avec une telle façon d’être, vous imaginez donc bien que M. Marxs est très attaché à la politesse. Si jamais donc vous deviez le rencontrer, assurez-vous de bien vous comporter ou il vous jugera inapte à la conversation et vous ignora royalement.

Mais il y a une autre facette du caractère d’Aristide beaucoup moins candide et agréable. Il ne faut pas l’oublier, bien qu’il ait été humain, il n’est à présent qu’une bête, un animal féroce et imprévisible, capable de changer de visage en un quart de seconde. Ce côté bipolaire, Aristide l’a hérité de sa part vampirique. Ainsi, il peut paraître par moment sauvage et se comporter comme une bête. Son regard est vif, ses gestes lents et contrôlés, calculé, et il ne reste en lui aucune d’égare pour l’humanité et plantera volontiers ses crocs dans votre gorge si vous l’irritez un peu trop. Il devient ce qu’on l’on pourrait communément appeler un prédateur. Mais n’allez pas croire que dans ces moments, il perd tout contrôle de sa personne et se laisser aller à une folie passagère, bien au contraire ! Il est tout à fait conscient de ce qu’il fait et y prend plaisir, c’est simplement une autre facette de sa personnalité qui se révèle, comme quand un chien, bien qu’il soit doux et tendre avec ses maîtres, montre les crocs pour rappeler qu’il n’est pas que domestique mais est une bête qui suit ses instincts et ses envies. C’est dans cet état d’esprit que le vampire redevient légende et reprend goût au sens, mais aussi à la chaire. Il se fait alors plus séducteur et se permet des gestes ainsi que des mots qu’il n’aurait jamais oser faire ou prononcer. C’est comme s’il se désinhibait.
Il y a donc comme une sorte de paradoxe chez Aristide : d’un côté cette personne aimable, tendre et touchante et de l’autre une créature appartenant au monde de la nuit, affamée et féline.



Mais s’assumer vampire ne signifie pas forcément aimer les autres de son espèce. Aristide, loin d’être sectaire, va même jusqu’à les craindre. Eux qui ont assassiné son maitre, comment pourrait-il les aimer ? Pour lui, ils ne sont que les prophètes d’un grand malheur et n’annonce que la mort et le désastre. Savoir qu’il n’est pas le seul nosferatu dans ce village lui donne des frissons.






My lost History

❝ Biographie


Jour 1, 10 mars 177…

Spoiler:

Jour 2, 12 Mars 177..

Spoiler:

Jour 3, 13 Mars 177..

Spoiler:

Jour 4, 16 Mars 177.

Spoiler:

Jour 5, 17 Mars 177.

Spoiler:








You Baby

❝ Du plus



• Ton petit nom & âge : Ju, 17 ans et toutes mes dents.

• Comment t'es arrivé chez nous ? : j'ai suivi les cailloux du petit poucet grâce au petit chaperon rouge !

• Code du règlement :


Revenir en haut Aller en bas
 

Aristide AKA le dénie de la société contemporaine en chaire et en os.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Red Riding Hood ::  :: Fiches U.C-